Dimanche 28
août. Etape 42
Debout 6 heures. Un peu raides. La nuit a été courte à cause des ronfleurs! 7h15.Cette fois, c'est reparti! Il fait frais au départ, mais beau. Guendelein puis Zariquiegui... |
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Pendant ce temps, Marie-Marcelle et Pierre arrivent à Cezur-Menor au parc où nous étions hier... OK c'est par là... Nous ne nous connaissons pas encore; mais nous suivons le même chemin... La Sierra del Pardon où il ya déjà quelques personnes... Il y a une route qui monte jusque là et, précisement, une voiture arrive avec table, chaises... une fête se prépare! Nous poursuivons notre chemin, chacun à son rythme... |
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Pour nous, c'est par là... ça descend
raide...
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quelques kilomètres derrière, ça
suit...
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ce n'est pas la sortie, mais
l'entrée...
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des bottes de paille entassées au bord
du champ.
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Et en ce moment, la fête bat son plein: une procession à la Sierra del Pardon! |
Pendant ce temps,
nous laissons, à notre gauche, la route vers l'église octogonale d'Eunate. |
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Pierre et Marcelle ont entamé la descente de la Sierra tandis que nous parvenons à Obanos, où nous allons nous arrêter pour déjeûner. |
Puenta la Reina. Juste à notre
gauche, l'Albergue Jakué. Nous n'irons pas plus loin. Nous nous délestons de nos sacs avant d'entamer la visite de la ville. La coquille confirme le chemin. |
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L'église et son clocher! Pas très loin, nous avons vu l'accueil des pélerins des Padres Reparadores. |
Le pont! Il y a un autre albergue à la
sortie du pont,
en haut un peu à l'écart: Santiago Apostol |
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C'est dimanche aujourd'hui, presque
tous les commerces sont fermés, à part les bars. Ici, l"alimentation camino de
santiago":
un des rares à avoir une vitrine. Les commerces ne se voient pas quand ils sont fermés. Pas d'enseigne ou peu. Rideaux ou volets fermés. Là, une cheminée, vestige d'une usine, sert de résidence d'hiver à un couple de cigognes. |
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Retour à
l'albergue Jakué. Les chambres pour les pélerins sont aménagées au
sous-sol. Des panneaux de bois séparent les lits. Suffisant et propre. Salle à manger avec plan de travail. Nous aurions pu cuisiner si nous étions parvenus à allumer la table de cuisson. Direction le restaurant qui affiche un
menu pélerin pour 11€. Mais le dimanche il faut aller chercher un
ticket repas
à la réception de l'hôtel (c'est le même bâtiment, faut pas chercher à comprendre!) et c'est 11€50, ce n'était pas an- noncé. La réceptionniste habituelle n'est pas là... où sont les billets? et le tampon? (...) Finalement, la seule personne qui comprend le français nous fait un papier... Au buffet, la serveuse tord le nez devant notre bout de papier et finit par accepter que nous mangions... J'en connais un qui commence à ruminer... (Ste patience...) Pour le repas, c'est différent: nombreuses crudités à volonté... idem, pour les entrées chaudes, puis le second plat: viande ou poisson plus légumes ( ou les deux!..) et dessert... Ca rattrappe tout. On peut aller se coucher! |