27 septembre 2011 Etape 72 Une plaque est restée allumée, nous faisons chauffer de l'eau pour improviser un déjeûner . Une des trois Allemandes qui jacassaient à Sarria et que l'on retrouve là, me demande du sucre. Nous allons faire une bonne partie de l'étape en compa- de nos Saintongeaises. Nicole trouve que Mari-Guy ne va pas assez vite malgré ses chaussures neuves et menace de l'abandonner. Nous continuerons sans elles, notre allure parait vraiement trop lente. |
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Mais qu'arrive-t-il à
ce Christ? Et quelle peut bien être la hauteur de ces eucalyptus? |
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Ribadiso de Baixo Au milieu de nulle part, sur le bord du rio Iso, le refuge que nous pensons être une ancienne ferme, serait à l'emplacement d'un hôpital fondé en 1425. |
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Douche et lessive.
Quelques minutes de repos dans la pelouse où j'ai perdu mon "Opinel".
Nous dînerons au bar restaurant jouxtant le refuge en compagnie de Chantal et Jean-Pierre. Plus tard, "nos"
trois Allemandes qui couchent au-dessus de nos têtes, n'en finissent
pas de rire et parler haut avec les gars ( le "vino tinto" y serait-il
pour
quelque chose ?)
La cuisine est équipée: des éviers tout le tour, un îlot avec cinq tables de cuisson. En état de fonctionner: deux seulement, encore faut-il trouver le poussoir de la minuterie,
car il n'y a aucune indication.
Comme la plupart des refuges ACAG, il n'y a ni vaisselle,
ni casseroles. |